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Jean-Yves Boriaud

Professeur de Langue et littérature latines

Littérature latine de la Renaissance

Courrier électronique : Jean-Yves Boriaud


Publications récentes
  • Léonard de Vinci

    Biographie

    Lorsque l’on aborde la vie de Léonard de Vinci, deux écueils sont à éviter : placer l’artiste au-dessus de la condition humaine et en faire une sorte de génie aussi énigmatique qu’impénétrable ou, au contraire, réduire son existence à quelques épisodes incertains voire fantasmés de sa vie privée – comme sa prétendue sexualité débridée. Loin des idées reçues et légendes tenaces, cet ouvrage nous invite à emprunter le véritable parcours de Léonard, du petit village toscan de Vinci dans lequel (…)


  • La Fortune des Médicis

    Le siècle dit « des Médicis » passe pour un moment d’exception, un modèle d’équilibre politique comme de perfection esthétique. Au XVe siècle affluent effectivement à Florence, en ce brillant Quattrocento, artistes, architectes, érudits et philosophes qui en font le phare de la Renaissance italienne. Mais rien n’aurait été possible sans la toile économique patiemment tissée depuis des dizaines d’années par les fondateurs méconnus de la dynastie des Médicis, des banquiers qui, en dépit des (…)


  • Cardan : le livre de ma vie

    Quelques mois avant sa mort en 1576, Gerolamo Cardano (notre « Cardan », né en 1501 à Pavie) se lance dans la rédaction de ce Livre de ma vie, en cinquante-quatre chapitres, dont il n’aura pas le temps de donner une version définitive, pour autant que l’expression ait un sens chez cet éternel insatisfait, toujours prêt à amender, voire à détruire celles de ses œuvres qu’il juge inabouties.
    En dépit de cela, le De vita propria, ouvrage apologétique où Cardan entend démontrer à l’Inquisition (…)


  • Machiavel

    Synonyme de cynisme compliqué de rouerie, le « machiavélisme » a éclipsé Niccolò Machiavelli, Italien de la classe moyenne devenu diplomate, qui courut les routes d’Europe pour le compte de Florence : il connut la cour française de Louis XII, l’Allemagne de Maximilien Ier et la Rome des Borgia, qui lui apprit tant de choses sur les ressorts les plus sombres de l’âme humaine. Cela pour la défense de sa patrie, qu’il aimait, dit-il, « plus que tout », cité opulente, mais si petite qu’il lui (…)


  • Pétrarque, Lettres de la vieillesse

    Avec ce volume, l’édition des Seniles, les lettres où le grand humaniste, au soir de sa vie, confie ses souvenirs est enfin complète. Non seulement il s’agit de la première traduction française de ce monument de l’humanisme italien, mais également de la première édition critique jamais publiée de cette collection.
    Le dernier volume poursuit la même politique éditoriale que les trois précédents. On a cependant été obligé de consacrer un appendice relativement long à la dernière lettre du (…)





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