La réactualisation du terme « matrimoine » pour désigner les œuvres de femmes, au début du XXIe siècle, invite à s’interroger sur l’existence de logiques de patrimonialisation différenciées et sur les processus d’invisibilisation ou d’effacement de certaines mémoires culturelles. En conclusion de sa quatrième année de séminaire, le réseau PatrimoniaLitté propose d’engager une réflexion sur la façon dont les œuvres de femmes sont transmises, mais aussi sur la façon dont les femmes s’approprient ces moyens de transmission.
- 21 mai, 16h-18h (en ligne) : L’histoire littéraire a-t-elle un genre ?
Table ronde animée par Nathalie Grande (Nantes Université) et Mathilde Labbé (Nantes Université), avec : Géraldine Hertz (Nantes Université), Gérard Gengembre (Université de Caen), Anna Krykun (Université de Tours), Esther Demoulin (Université de Lille)
- 18 Juin, 16h-18h (en ligne) : Survie des figures littéraires féminines
Laure Primerano (KU Leuven) : « Making the Cut : Biographies Collectives et façonnement d’une autorité intellectuelle féminine collective dans l’Europe des Lumières »
Marie-Pierre Auvray (Nantes Université) « Des Parisiennes invisibles : la disparition éditoriale des récits de voyage féminins publiés dans la seconde moitié du XIXe siècle »
En collaboration avec Nantes Université et le programme « Regards de femmes sur l’histoire littéraire »
Pour toute information complémentaire : mathilde(point)labbe(arobase)univ-nantes.fr
https://respalitt.hypotheses.org/se...